Cette communauté d’agglomération de l’Oise avait besoin d’y voir plus clair sur ses consommations issues des équipements et des usages numériques. Objectif : connaître les leviers d’amélioration possibles. La collectivité s’est entourée des experts d’Orange Business pour l’accompagner dans sa démarche. Elle dispose désormais d’une feuille de route pour réduire son empreinte carbone liée au numérique.

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Bien anticiper une nouvelle disposition réglementaire : la loi REEN

Adoptée en juillet 2021, la loi REEN (“Réduire l’Empreinte Environnementale du Numérique”) stipule que d’ici le 1er janvier 2025, les communes et leurs intercommunalités de plus de 50 000 habitants devront avoir élaboré une stratégie numérique responsable. En clair : il convient de prendre des mesures concrètes pour limiter l’impact environnemental des outils et des usages. La première échéance de la loi REEN, au 1er janvier 2023, demande de réaliser une évaluation de la maturité numérique responsable.

La communauté d’agglomération du Beauvaisis est concernée puisqu’elle regroupe 53 communes pour plus de 100 000 habitants dans le département de l’Oise. Afin d’être rapidement en ordre de marche, elle a souhaité obtenir une visibilité totale sur ses consommations. Un numérique moins énergivore et moins carboné est un enjeu RSE de premier ordre.

La collectivité avait beau se situer exactement dans la moyenne nationale, à savoir une empreinte carbone du numérique de l’ordre de 2,5%, elle souhaite faire mieux. « Il ne faut pas s’en réjouir, au contraire. Il faut multiplier les chantiers pour tenter de la réduire » martèle Nicolas Schockaert, Directeur des systèmes d’information et de télécommunication – Communauté d’agglomération du Beauvaisis. 

S’entourer d’experts pour y voir plus clair

Achats IT responsables, fonctionnement des data centers, consommations des services et des agents, place du réemploi et de la réutilisation, impact des équipements informatiques et mobiles, cycle de vie des appareils, écoconception des sites, services et applications… Où en est vraiment la communauté du Beauvaisis sur tous ces points ? Impossible de le savoir avec précision sans un accompagnement de spécialistes.

Le directeur des systèmes d’information et de télécommunication en avait bien conscience. Raison pour laquelle il a choisi Orange Business pour mener cette évaluation. Une première étape pour établir le diagnostic de la maturité numérique responsable du territoire, 1ère échéance de la loi REEN.

« L’approche d’Orange nous a convaincus, confirme Nicolas Schockaert. On nous a présenté des consultants expérimentés qui travaillent sur des sujets équivalents dans d’autres collectivités. Ils ont une grande expertise en matière de numérique responsable, cela nous a rassurés ».



Aujourd’hui, nous arrivons enfin à nous projeter sur cette future stratégie numérique responsable. Nous avons identifié les sujets sur lesquels mettre l’accent. 

Nicolas Schockaert - Directeur des systèmes d’information et de télécommunication – Communauté d’agglomération du Beauvaisis

Une méthodologie rodée pour une feuille de route complète

Parce qu’ils ont déjà accompagné de nombreuses collectivités confrontées au même besoin, les experts Orange Business sont rodés à l’exercice. Tout commence par un cadrage du périmètre : l’ensemble du territoire de la communauté du Beauvaisis doit être pris en compte. Ensuite, place à l’inventaire complet des équipements. La troisième étape consiste, elle, à répondre à 7 questionnaires thématiques sur les pratiques liées au numérique responsable.

Forts de ces éléments, les spécialistes Orange Business sont alors en mesure de produire un livrable. « Il s’agit d’un plan de travail qui nous permet de nous mettre en chantier », explique Nicolas Schockaert.

Les recommandations fournies par Orange Business répondent aux obligations réglementaires imposées par la loi REEN pour préparer le 2ème volet de la loi REEN à l’échéance 2025. Elles donnent surtout aux équipes du Beauvaisis une précieuse feuille de route pour rendre leurs usages du numérique plus responsables.

Une visibilité particulièrement appréciée. « Aujourd’hui, nous arrivons enfin à nous projeter sur cette future stratégie numérique responsable, estime Nicolas Schockaert. Nous avons identifié les sujets sur lesquels mettre l’accent ». 

Améliorer notre empreinte carbone du numérique qui est de 2,5%