Tous les DSI savent qu'ils ont un rôle essentiel à jouer dans la réduction des émissions carboniques de leur entreprise et du reste de leur secteur d'activité. Mais nombreux sont ceux qui s'interrogent sur l'impact des solutions informatiques écologiques elles-mêmes. Par exemple, la téléprésence permet de réduire de manière effective les émissions produites par les déplacements, mais qu'en est-il de leur propre empreinte (concernant les salles de réunion, les nouveaux kits, les connexions réseau) ? Quel impact ces solutions ont-elles sur les émissions ? Certains posent la même question pour le télétravail : si les employés travaillent de chez eux, ne se contentent-ils pas de déplacer les émissions produites par le chauffage et l'éclairage d'un bureau, en chauffant et éclairant leur propre habitation pendant les heures travaillées ?
Orange a abordé ces deux problématiques au cours de l'événement Orange Business Live d'Amsterdam. Une étude portant sur ses propres activités de télétravail dans différents sites a démontré que bien que certaines émissions étaient déplacées, les seules économies réalisées sur les déplacements non réalisés pouvaient rendre le télétravail 5 fois plus efficace que le déplacement et le travail dans vers un bureau centralisé. Ces résultats sont étayés par des chiffres, que je mettrai à jour dès que je disposerai des données brutes.
Orange a également développé un calculateur d'impact de la téléprésence sur les émissions de carbone, qui peut être utilisé par tous. Alors que de nombreux outils de calcul s'intéressent au RSI (Orange en propose également), ce nouveau calculateur évalue l'impact du déploiement d'une salle de téléprésence, les émissions générées par la fabrication des équipements, la distribution et la fin de vie du kit (soit la totalité du cycle de vie de la solution), ainsi que les émissions générées par le transport routier effectué si le télétravailleur doit se rendre à la salle de téléprésence la plus proche. Ces résultats sont comparés aux émissions des vols/trajets routiers ou ferroviaires générées pour une rencontre en face-à-face. De nombreuses entreprises souhaitent connaître cet impact sur leur activité. Le calculateur Orange vous permet d'indiquer le nombre d'utilisateurs, le nombre de salles de téléprésence, leur emplacement et leur utilisation, et vous indique le RSI carbone calculé pour votre entreprise, par rapport à votre activité actuelle (sans téléprésence). Des plans sont en cours pour la création de calculateurs évaluant l'impact d'une implémentation par rapport à celui d'un système traditionnel pour toutes les solutions écologiques d'Orange, et pour leur mise à disposition gratuite sur le site Internet d'Orange.
Axel Haentjens est vice-président du marketing chez Orange Business Services et un fervent défenseur de l'informatique écologique. Dans sa vidéo, il indique comment expliquer l'impact des solutions informatiques écologiques (telles que le télétravail) sur l'environnement, et comment comparer cet impact à celui généré par la continuité des activités traditionnelles. Orange a effectué cette comparaison lorsqu'elle a évalué l'impact du télétravail sur sa propre organisation, prouvant ainsi que la quantité d'énergie utilisée par le travail à domicile était moindre que celle nécessaire pour un bureau (et qu'elle n'exigeait en outre aucun déplacement). Pour certains sites (en fonction du profil), le télétravail est 4 à 5 fois plus économe en énergie que le travail au bureau.
Orange a abordé ces deux problématiques au cours de l'événement Orange Business Live d'Amsterdam. Une étude portant sur ses propres activités de télétravail dans différents sites a démontré que bien que certaines émissions étaient déplacées, les seules économies réalisées sur les déplacements non réalisés pouvaient rendre le télétravail 5 fois plus efficace que le déplacement et le travail dans vers un bureau centralisé. Ces résultats sont étayés par des chiffres, que je mettrai à jour dès que je disposerai des données brutes.
Orange a également développé un calculateur d'impact de la téléprésence sur les émissions de carbone, qui peut être utilisé par tous. Alors que de nombreux outils de calcul s'intéressent au RSI (Orange en propose également), ce nouveau calculateur évalue l'impact du déploiement d'une salle de téléprésence, les émissions générées par la fabrication des équipements, la distribution et la fin de vie du kit (soit la totalité du cycle de vie de la solution), ainsi que les émissions générées par le transport routier effectué si le télétravailleur doit se rendre à la salle de téléprésence la plus proche. Ces résultats sont comparés aux émissions des vols/trajets routiers ou ferroviaires générées pour une rencontre en face-à-face. De nombreuses entreprises souhaitent connaître cet impact sur leur activité. Le calculateur Orange vous permet d'indiquer le nombre d'utilisateurs, le nombre de salles de téléprésence, leur emplacement et leur utilisation, et vous indique le RSI carbone calculé pour votre entreprise, par rapport à votre activité actuelle (sans téléprésence). Des plans sont en cours pour la création de calculateurs évaluant l'impact d'une implémentation par rapport à celui d'un système traditionnel pour toutes les solutions écologiques d'Orange, et pour leur mise à disposition gratuite sur le site Internet d'Orange.
Axel Haentjens est vice-président du marketing chez Orange Business Services et un fervent défenseur de l'informatique écologique. Dans sa vidéo, il indique comment expliquer l'impact des solutions informatiques écologiques (telles que le télétravail) sur l'environnement, et comment comparer cet impact à celui généré par la continuité des activités traditionnelles. Orange a effectué cette comparaison lorsqu'elle a évalué l'impact du télétravail sur sa propre organisation, prouvant ainsi que la quantité d'énergie utilisée par le travail à domicile était moindre que celle nécessaire pour un bureau (et qu'elle n'exigeait en outre aucun déplacement). Pour certains sites (en fonction du profil), le télétravail est 4 à 5 fois plus économe en énergie que le travail au bureau.
Journaliste depuis prés de 20 ans et diplomé en Sciences et Philosophie, j'ai créé en 2002, l'agence Futurity Media avec Anthony Plewes. L'objectif de notre agence est d'accompagner les entreprises à identifier des sujets émergents dans le domaine des nouvelles technologies.