Le cœur du problème réside dans la sécurité. Pour les personnes interrogées, la barrière principale à l'adoption de ces nouveaux outils est la question du contrôle de l'information une fois que celle-ci a été distribuée. En outre, le travail collaboratif n'est peut être tout simplement pas assez séduisant. Quarante quatre pour cent des répondants cherchent des manières plus agréables de collaborer.
Pire encore, la moitié des professionnels de la sécurité de l'information récemment sondés par Webroot, compte abandonner des projets de collaboration suite aux problèmes liés à la sécurité. L'analyse de Webroot estime que 25 % des professionnels de la sécurité seulement sont préparés à continuer en dépit des inquiétudes liées à la sécurité, et que seul 15 % d'entre eux ont déjà résolu leurs problèmes de sécurité. Les 10 % restants n'ont pas de projet de travail en collaboration.
Il semble donc que si les employés sont toujours vissés à leur téléphone et leurs e-mails, il conviendrait de sécuriser ceux-ci pour leur permettre de gérer la collaboration (comme les communications unifiées), plutôt que de leur demander d'adopter des outils inconnus (comme les mondes virtuels), qui demandent des pratiques de travail totalement différentes. http://www.vnunet.com/vnunet/news/2236179/adoption-gen-collaboration
Journaliste depuis prés de 20 ans et diplomé en Sciences et Philosophie, j'ai créé en 2002, l'agence Futurity Media avec Anthony Plewes. L'objectif de notre agence est d'accompagner les entreprises à identifier des sujets émergents dans le domaine des nouvelles technologies.