Avez-vous déjà remarqué comme les gens se méfient de la virtualisation ?
Parmi les raisons invoquées on retrouve immanquablement les arguments concernant la jeunesse de la technologie, le manque de retour d'expériences ou encore le support applicatif éditeur en cas d'architecture virtualisée.
Ces arguments pour pertinents qu'ils soient, en cachent souvent un autre, bien moins vrai : la peur de perdre la connaissance et la maitrise de l'architecture existante.
Les infrastructures virtualisées intègrent en effet une couche d'aministration propriétaire dédiée des ressources physiques et des machines virtuelles, mais la connaissance système des plateformes reste valable (à peu de choses près) dans le monde virtuel.
Ainsi, un active directory ou un exchange s'administreront à l'identique, qu'ils soient physiques ou virtuels (modulo les paramètres de fichiers d'échange et autres variables systémiques du genre qui sont à customiser en environnement virtuel).
En revanche, un compte utilisateur reste un compte utilisateur et une GPO reste une GPO.
Il est donc important de savoir rassurer le client sur la perrenité et le maintien de l'essentiel de ses compétences d'administration lors de la virtualisation de son infrastructure. Il deviendra alors un meilleur partenaire et c'est essentiel.
Ingénieur Avant-Ventes chez NEOCLES, ma mission consiste en du conseil en avant-ventes et études d'opportunités de projets de transformation d'infrastructures et/ou poste de travail.